Description physique
Les callopsittes ont un plumage d’un gris tendre. Les plumes du dessus de la queue sont argentées. Et celles du dessous sont gris foncé. Les plumes blanches de conjugaison des ailes se voient quand elles sont déployées. La gorge, les joues et le front sont d’un beau jaune citron. Près de l’oreille, par dessus ce « masque » jaune, juste en dessous de l’œil noir, brille la tache orange de la joue. Les plumes de la huppe jaillissent en haut du masque. La huppe de la perruche callopsittes est beaucoup plus fine que celle du cacatoès.
Lire la suite »
Description physique
La perruche à collier est oiseau très apprécié des éleveurs, elle est mince et élancée, la couleur de son phénotype sauvage est le vert. Le sexe est facilement reconnaissable chez des oiseaux de 3 ans minimum, en effet les mâles ont un beau collier, les femelles quant à elles en sont dépourvues, comme la majorité des oiseaux du genre psittacula : les perruches à collier ont tendance à se faire entendre ce qui peut causer des désagréments aux voisins.
Description physique
Cette perruche porte admirablement bien son nom. Le mâle a le devant du cou et la poitrine rouge. La tête est bleue, plus foncée sur la gorge et les joues. Le reste du dessous du corps est jaune tandis que le dessus est vert lumineux. Plumage jaune d’or, moins vif chez la femelle, qui est dépourvue de plumes orange sur le ventre. Triangle orange entre le bec et les yeux ; petit sourcil bleu; rémiges bordées de bleu; dos vert olive ; plumes voilières noires (marron chez la femelle). Les jeunes mâles sont d’un jaune plus vif que les femelles quand ils quittent le nid, mais n’ont pas encore de bande sur le front. Au bout de 6 mois, la première mue est achevée.
Description physique
Trapu et robuste, c’est un oiseau à la tête grise et au reste du corps vert clair avec du jaune sur le ventre s’étendant jusqu’à la région sous-caudale. Quelques pennes des ailes et de la queue sont foncées. Les yeux sont jaunes avec un iris noir. Le bec et les pattes sont gris foncés.
Description physique
Le corps est rose plus ou moins soutenu. La queue, la région sous caudale ainsi que les ailes sont grises avec des rémiges primaires plus foncées. La huppe érectile est rose clair et courte. Les yeux sont sombres et les pattes sont de couleur claire.
Lire la suite »
Description physique
Originaire du Sud-est de l’Australie, cette perruche principalement verte doit son nom à ses plumes sus-caudales (croupion) qui sont d’un rouge éclatant. Son bec est noir, l’iris de ses yeux est jaune-orangé, ses flancs et son ventre sont jaunes. Ses régimes sont noires bordées d’un trait blanc et sa queue est verte teintée par endroits de bleu. Elle vit vers les jardins et terrains cultivés à proximité de l’homme. La perruche à croupion rouge se déplace en couple pendant la saison de reproduction mais rejoint des bandes atteignant la centaine d’individus en hiver.
Description physique
C’est un grand lori rouge, mais d’aspect très différent des loris du genre Eos. Il mesure 31 cm, et pèse de 220 à 250 grammes. Les plumes du dos et des ailes sont rouge sombre. Les plumes de la poitrine et du ventre sont rouges et bordées d’une fine bande jaunâtre. Les primaires sont orange bronze, et la queue couleur rouille. Le bec est orange, avec du noir à la base de la mandibule supérieure chez la plupart des oiseaux. L’iris est orange. La peau qui entoure l’œil est grise, celle qui entoure la mandibule inférieure grise et jaune, les pattes sont grises.
Il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Les jeunes sont semblables aux adultes, mais avec une teinte générale plus sombres. L’espèce nominale n’a pas de sous-espèce.
Lire la suite »
Description physique
Ce genre comprend quatre espèces de loris à la fois très semblables et très différentes : le lori noir, le lori de Duyvenbode, le lori flammèche et le lori cardinal. Les quatre sont de grands loris à longue queue arrondie. Trois sont originaires de Nouvelle- Guinée, et un des îles de l’Est (le lori cardinal). Diamond, en 1972, commente l’évolution de ces espèces, décrivant trois d’entre elles (atra, duyvenbodei, et scintillata) comme une « chaîne de super-espèces occupant les terres basses de Nouvelle-Guinée, avec des contacts entre les populations qui ont été rompus et restaurés de nombreuses fois. Le genre consiste en trois semi-espèces virtuellement allopatriques, dont la distribution forme maintenant un cercle incomplet (brisé à l’est entre la baie d’Astrolabe et la rivière Kemp Welch) à la périphérie de la Nouvelle-Guinée ». Il n’a apparemment pas pris en compte l’existence de la quatrième espèce, ou considérait peut-être que l’espèce cardinalis n’appartenait pas à ce genre : au moins un taxonomiste ava
t lui avait classé le lori cardinal dans le genre Eos (Low, 1998).
L’un des traits remarquables du genre Chalcopsitta est que chacune des quatre espèces qui le compose est d’une couleur différente des autres : noire pour atra, marron pour duyvenbodei, verte pour scintillata, rouge pour cardinalis. Pourtant, si tous quatre sont de différentes couleurs, ils ont un certain nombre de caractéristiques en commun : La forme des plumes du cou, tout d’abord, longues, fines et pointues, très différentes des autres plumes de couverture. Ils possèdent également tous une bande de peau nue sous la mandibule inférieure, qui n’est pas très apparente car elle est noire, de la même couleur que le bec (sauf chez cardinalis, dont le bec est orange). Beaucoup moins discrète est leur voie, puissante et aiguë, et qu’on doit prendre en considération si on pense acquérir cet oiseau : les voisins risquent de ne pas apprécier ses efforts de communication ! Un autre trait caractéristique du genre est son vol, très différent de celui des autres loris, et qui permet de le reconnaître à coup sûr : les ba
tements d’ailes sont rapides, mais faibles, et le vol est lent, donnant l’impression de nécessiter beaucoup d’efforts pour peu de résultats.
Il y a peu d’information disponible sur la vie dans la nature de ces loris, et la plupart des connaissances viennent des observations faites sur les oiseaux en aviculture.
Description physique
La perruche turquoisine est une magnifique petite perruche d’une vingtaine de centimètres où le vert, le jaune et le bleu dominent. Une forme domestique récente présente une tâche rouge sur le ventre.
Découvert par Scopoli en 1786.
Description physique
Ce lori est le moins coloré du genre, et l’un des moins de tous les perroquets (avec les coracopsis) puisqu’il est presque entièrement noir, à l’exception de la queue. C’est un grand lori, qui mesure 32 cm et pèse 230 à 280 grammes, les mâles étant plus lourds que les femelles.
La plupart des plumes ont cependant des reflets pourpres, visibles uniquement au soleil. Les plumes du cou ont une forme bien particulière, longues, fines et pointues. On retrouve ce type de plumes chez les quatre espèces du genre. Les plumes du croupion sont tiquetées de bleu, et les plumes sous caudales sont rouges et jaunes.
L’iris est brun, cerclé de jaune chez certains oiseaux. Le bec et les pattes sont noirs, de même que la bande de peau nue péri ophtalmique.
Les mâles sont plus grands que les femelles, avec une tête et un bec plus larges (cette distinction ne vaut toutefois pas pour la sous-espèce insignis).
Les immatures ont quelques plumes rouges parsemées parmi les plumes noires. Le cercle périophtalmique et la cire sont blancs, et l’iris noir.