Description physique
Splendide perroquet, entièrement noir avec des joues rouge vif. C’est le plus grand cacatoès puis qu’il peut atteindre jusqu’à 75 cm de long. L’iris est sombre et sa langue est noire avec une pointe rouge à son extrémité. Le bec et les pattes sont gris foncé.
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Description physique
La tête et le ventre sont orangés, la poitrine et le dos sont jaunes, les rémiges primaires sont bordées de vert tandis que les grandes rémiges sont bleues.
Le tour de l’œil qui décrit un grand cercle oculaire est grisâtre chez les jeunes pour devenir blanc à la maturité.
Bec grisâtre tirant vers le noir, les pattes sont brunes.
Description physique
Les callopsittes ont un plumage d’un gris tendre. Les plumes du dessus de la queue sont argentées. Et celles du dessous sont gris foncé. Les plumes blanches de conjugaison des ailes se voient quand elles sont déployées. La gorge, les joues et le front sont d’un beau jaune citron. Près de l’oreille, par dessus ce « masque » jaune, juste en dessous de l’œil noir, brille la tache orange de la joue. Les plumes de la huppe jaillissent en haut du masque. La huppe de la perruche callopsittes est beaucoup plus fine que celle du cacatoès.
Les ectoparasites sont fréquemment rencontrés chez les oiseaux de volière. Surtout les mites qui sucent du sang (Dermanyssus gallinae) peuvent causer beaucoup de problèmes aux volières en été.
Ces parasites affaiblissent les oiseaux et peuvent même causer la mort des jeunes aux nids. C’est pourquoi il faut contrôler régulièrement les volières et les couvoirs de parasitisme.
Les poux broyeurs (Mallophaga) et les acarioses de la peau sont aussi fréquemment vus chez les canaris, mais provoquent seulement un état d’énervement des oiseaux.
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Description physique
Cette moyenne perruche australienne est une proche cousine de la perruche à croupion rouge. Cette perruche a dominante verte arbore plusieurs couleurs, d’où son nom. Les males plus colorés sont facilement reconnaissables. Leur bec est surmonté d’une couronne de jaune vif. On retrouve aussi encore du jaune au niveau de l’ébauche des ailes. L’extrémité des ailes est bleu vif. Le ventre est orangé rouge, et le bout des rectrices de la queue bleutée se terminent sur une touche de blanc. Les femelles quand a elles, sont plus ternes ne présente pas de jaune sur la tête et le jaune des ailes et remplacer par du rouge bordeaux.
Découvert par Scopoli en 1786.
Description physique
Ce lori est le moins coloré du genre, et l’un des moins de tous les perroquets (avec les coracopsis) puisqu’il est presque entièrement noir, à l’exception de la queue. C’est un grand lori, qui mesure 32 cm et pèse 230 à 280 grammes, les mâles étant plus lourds que les femelles.
La plupart des plumes ont cependant des reflets pourpres, visibles uniquement au soleil. Les plumes du cou ont une forme bien particulière, longues, fines et pointues. On retrouve ce type de plumes chez les quatre espèces du genre. Les plumes du croupion sont tiquetées de bleu, et les plumes sous caudales sont rouges et jaunes.
L’iris est brun, cerclé de jaune chez certains oiseaux. Le bec et les pattes sont noirs, de même que la bande de peau nue péri ophtalmique.
Les mâles sont plus grands que les femelles, avec une tête et un bec plus larges (cette distinction ne vaut toutefois pas pour la sous-espèce insignis).
Les immatures ont quelques plumes rouges parsemées parmi les plumes noires. Le cercle périophtalmique et la cire sont blancs, et l’iris noir.
Description physique
C’est un grand lori rouge, mais d’aspect très différent des loris du genre Eos. Il mesure 31 cm, et pèse de 220 à 250 grammes. Les plumes du dos et des ailes sont rouge sombre. Les plumes de la poitrine et du ventre sont rouges et bordées d’une fine bande jaunâtre. Les primaires sont orange bronze, et la queue couleur rouille. Le bec est orange, avec du noir à la base de la mandibule supérieure chez la plupart des oiseaux. L’iris est orange. La peau qui entoure l’œil est grise, celle qui entoure la mandibule inférieure grise et jaune, les pattes sont grises.
Il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Les jeunes sont semblables aux adultes, mais avec une teinte générale plus sombres. L’espèce nominale n’a pas de sous-espèce.
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La proventriculite ou PDD (Proventriculus Dilatation Disease), est une maladie mortelle d’évolution lente, responsable de troubles nerveux et de dysfonctionnements digestifs consécutifs à une destruction progressive des fibres nerveuses. Connue et redoutée des amateurs d’oiseaux depuis les années 1970, elle a été jusqu’à présent décrite chez plus de cinquante espèces d’oiseaux, dont la plupart des psittacidés (sauf jusqu’à présent la perruche ondulée), beaucoup de petits passereaux (comme le canari), les toucans, des rapaces (dont le faucon pèlerin) et des oiseaux d’eau.
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Un peu d’histoire…
C’est en 1975 que la maladie du bec et des plumes (Psitaccine Break and Feather Disease – PBFD) a été pour la première fois identifiée et formellement décrite. Elle a été reconnue depuis comme la pathologie la plus importante chez les psittacidés australiens. Les vétérinaires du monde entier ont cherché à expliquer la maladie par de multiples causes. Certains accusaient les graines de tournesol, tandis que d’autres évoquaient la consanguinité. La cellule de recherche de l’Université Murdoch a démontré que la PBFD était causée par un nouveau type de virus, dont les caractéristiques ont depuis été établies par les chercheurs de l’Université de Georgie.
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Description physique
Trapu et robuste, c’est un oiseau à la tête grise et au reste du corps vert clair avec du jaune sur le ventre s’étendant jusqu’à la région sous-caudale. Quelques pennes des ailes et de la queue sont foncées. Les yeux sont jaunes avec un iris noir. Le bec et les pattes sont gris foncés.