Les ectoparasites sont fréquemment rencontrés chez les oiseaux de volière. Surtout les mites qui sucent du sang (Dermanyssus gallinae) peuvent causer beaucoup de problèmes aux volières en été.
Ces parasites affaiblissent les oiseaux et peuvent même causer la mort des jeunes aux nids. C’est pourquoi il faut contrôler régulièrement les volières et les couvoirs de parasitisme.
Les poux broyeurs (Mallophaga) et les acarioses de la peau sont aussi fréquemment vus chez les canaris, mais provoquent seulement un état d’énervement des oiseaux.
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Avant que votre perroquet n’arrive à la maison, vous allez préparer sa cage et son environnement pour qu’il vive dans de bonnes conditions. Les informations ci-dessous vous aideront dans le choix de l’emplacement idéal.
Combien de fois, du printemps à l’automne n’entend-on pas cette triste phrase : « A l’aide !!! Mon oiseau s’est envolé comment et que dois-je faire pour le rattraper ? » Apprivoisé ou non, ailes taillés ou non, nul n’est à l’abri d’une fugue… Mais, alors, comment prévenir, comment faire ? La première chose est de sécuriser portes et fenêtres par des moustiquaires métalliques. La deuxième chose à faire est d’apprendre à son perroquet quelques principes de base, comme monter et descendre de son perchoir sur votre main, venir en volant vers vous, depuis tout près, depuis plus loin, lorsqu’il se trouve sur une autre personne également, lorsque vous l’appelez, travaillez avec lui le rappel. C’est très important déjà pour la vie de tous les jours, et s’il s’échappe, cela permettra de le faire revenir plus rapidement.
Argile et santé
La consommation d’argile et de terre (la géophagie) se rencontre chez de nombreuses espèces animales. Et les humains ne sont pas en reste. En effet, des quatre coins du monde, on rapporte des groupes de population qui consomment de l’argile. Cette habitude était déjà signalée dans les civilisations anciennes de la Chine, de la Grèce et de l’Egypte. Dans les supermarchés africains, de petits rouleaux d’argile côtoient le sucre et les noix. On connaît moins bien les habitudes de géophagie chez les oiseaux. On sait surtout des perroquets et des pigeons qu’ils absorbent des minéraux du sol mais on parle également de cette habitude chez les gallinacés et les oiseaux chanteurs. Tout le monde connaît les images de grandes colonies d’aras et autres perroquets prenant plaisir à lécher de gros blocs d’argile sur les collines de l’Amazone. La caractéristique commune de la plupart des oiseaux géophages est que leur alimentation se compose principalement de végétaux. Selon les connaisseurs, l’absorption d’argile pourrait bien s’avérer plus bénéfique à la santé que ce que l’on suppose.
Description physique
Le corps est rose plus ou moins soutenu. La queue, la région sous caudale ainsi que les ailes sont grises avec des rémiges primaires plus foncées. La huppe érectile est rose clair et courte. Les yeux sont sombres et les pattes sont de couleur claire.
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Description physique
Originaire du Sud-est de l’Australie, cette perruche principalement verte doit son nom à ses plumes sus-caudales (croupion) qui sont d’un rouge éclatant. Son bec est noir, l’iris de ses yeux est jaune-orangé, ses flancs et son ventre sont jaunes. Ses régimes sont noires bordées d’un trait blanc et sa queue est verte teintée par endroits de bleu. Elle vit vers les jardins et terrains cultivés à proximité de l’homme. La perruche à croupion rouge se déplace en couple pendant la saison de reproduction mais rejoint des bandes atteignant la centaine d’individus en hiver.
Description physique
C’est un grand lori rouge, mais d’aspect très différent des loris du genre Eos. Il mesure 31 cm, et pèse de 220 à 250 grammes. Les plumes du dos et des ailes sont rouge sombre. Les plumes de la poitrine et du ventre sont rouges et bordées d’une fine bande jaunâtre. Les primaires sont orange bronze, et la queue couleur rouille. Le bec est orange, avec du noir à la base de la mandibule supérieure chez la plupart des oiseaux. L’iris est orange. La peau qui entoure l’œil est grise, celle qui entoure la mandibule inférieure grise et jaune, les pattes sont grises.
Il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Les jeunes sont semblables aux adultes, mais avec une teinte générale plus sombres. L’espèce nominale n’a pas de sous-espèce.
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Votre perroquet à tout âge peut apprendre à parler s’il a des prédispositions. Nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler un perroquet et qui s’imaginent que cela va de soi. C’est oublier qu’ils ont leur propre langage fait de cris plus ou moins stridents, de sifflements ou de grognements. Ainsi, imiter la voix humaine correspond à l’apprentissage d’une langue étrangère.
Construction d’une volière d’intérieur
On débute souvent un élevage avec une cage ou une volière du commerce, mais après les premières naissances on se rend vite compte que la place va finir par manquer.
Je vais vous décrire étape par étape la construction d’une volière d’intérieur (dimension, choix des matériaux, astuces, aménagement intérieur)
Principe de conception :
1/ Facile d’entretien
2/ Structure légère et démontable rapidement
3/ Evolutive ( volière modulaire )
Dimension : Longueur : 2 m – largeur : 2 m – Hauteur : 2 m
( On choisira de préférence les dimensions en fonction de la taille standard des matériaux du commerce )
Description physique
Ce genre comprend quatre espèces de loris à la fois très semblables et très différentes : le lori noir, le lori de Duyvenbode, le lori flammèche et le lori cardinal. Les quatre sont de grands loris à longue queue arrondie. Trois sont originaires de Nouvelle- Guinée, et un des îles de l’Est (le lori cardinal). Diamond, en 1972, commente l’évolution de ces espèces, décrivant trois d’entre elles (atra, duyvenbodei, et scintillata) comme une « chaîne de super-espèces occupant les terres basses de Nouvelle-Guinée, avec des contacts entre les populations qui ont été rompus et restaurés de nombreuses fois. Le genre consiste en trois semi-espèces virtuellement allopatriques, dont la distribution forme maintenant un cercle incomplet (brisé à l’est entre la baie d’Astrolabe et la rivière Kemp Welch) à la périphérie de la Nouvelle-Guinée ». Il n’a apparemment pas pris en compte l’existence de la quatrième espèce, ou considérait peut-être que l’espèce cardinalis n’appartenait pas à ce genre : au moins un taxonomiste ava
t lui avait classé le lori cardinal dans le genre Eos (Low, 1998).
L’un des traits remarquables du genre Chalcopsitta est que chacune des quatre espèces qui le compose est d’une couleur différente des autres : noire pour atra, marron pour duyvenbodei, verte pour scintillata, rouge pour cardinalis. Pourtant, si tous quatre sont de différentes couleurs, ils ont un certain nombre de caractéristiques en commun : La forme des plumes du cou, tout d’abord, longues, fines et pointues, très différentes des autres plumes de couverture. Ils possèdent également tous une bande de peau nue sous la mandibule inférieure, qui n’est pas très apparente car elle est noire, de la même couleur que le bec (sauf chez cardinalis, dont le bec est orange). Beaucoup moins discrète est leur voie, puissante et aiguë, et qu’on doit prendre en considération si on pense acquérir cet oiseau : les voisins risquent de ne pas apprécier ses efforts de communication ! Un autre trait caractéristique du genre est son vol, très différent de celui des autres loris, et qui permet de le reconnaître à coup sûr : les ba
tements d’ailes sont rapides, mais faibles, et le vol est lent, donnant l’impression de nécessiter beaucoup d’efforts pour peu de résultats.
Il y a peu d’information disponible sur la vie dans la nature de ces loris, et la plupart des connaissances viennent des observations faites sur les oiseaux en aviculture.