Fêtes

[piloui]

Sev61

j'offre DEUX bises sous le houx

Ce que j'aimerais bien c'est que vous nous racontiez une jolie anecdote sur vos oiseaux, c'est possible ? Parce que c'est toujours plaisant et tout le monde pourra en profiter, alors qu'un gris pour Sev, ben...ce ne serait que pour elle !
Ici, pas grand chose de neuf chez mes oiseaux. le seul truc c'est Pipo qui imite les quintes de toux de ma fille, une vraie caricature, ça dédramatise bien le rhume ...et il vous fait plein de bisous, des petits et des gros, si si, il sait très bien faire et les gros...ils pètent vraiment bien !
un morceau du livre de Lorenz :
konrad Lorenz a raconté ses oies.
"Alors qu'il souhaitait observer un oison juste éclos, il a mis des oeufs à incuber sous une dinde. Il a voulu  mettre une oie cendrée qui venait de naitre sous une oie blanche sauf que la petite oie ne reconnaissait pas l'oie blanche comme sa mère, la petite oie avait choisit C Lorenz pour mère, c'est lui qu'elle avait vu en premier ...Il a donc emporté sa croix dans sa chambre....
Je posai la caisse contenant le berceau chauffant dans un coin de ma chambre et me mis au lit aussi. J'étais sur le point de m'endormir quand j'entendis Martina ( la petite oie ) dire encore d'une voix lasse et ensommeillée : " Virrrr." Je ne bougeai pas. Alors vint un peu plus haut et comme interrogatif le son de la prise de contact : vivivi ? Selma Lagerlof, dont le merveilleux livre sur le petit Nils Holgerson a tellement influencé mon enfance, a saisi le sens de cet appel avec une intuition géniale lorsqu'elle le traduit par : Je suis ici, où es-tu ? Je continuai à ne pas répondre, m'enfonçant davantage sous mes couvertures et souhaitai avec ferveur que l'enfant se rendormît. Hélas non ! Vivivi, mais avec cette fois un accompagnement menaçant du sifflement de l'abandon : je suis ici, où es-tu ? Les coins de la bouche tombent, la lévre inférieure gonflée, ce qui est rendu chez l'oie par le petit cou tendu et le duvet du crâne hérissé. Et l'instant suivant, ça y était, net et perçant, retentit le pfuhp...pfuhp... Je dus sortir de mon lit, m'approcher de la caisse. Martina m'acceuillit avec joie et forces de saluts : vivivivivivi, cela n'en finissait pas, tant elle était ravie de ne plus se trouver seule dans le noir. Je l'enfonçai doucement sous le coussin chauffant: virrrrr, virrr, elle s'endormt aussitôt comme je l'espérais. Je fis de même. Mais à peine une heure après, vers dix heure et demie, s'éleva de nouveau le vivivivi interrogatif et le jeu que je viens de décrire se répéta exactement. Puis de nouveau à minuit  moins le quart. Et de nouveau à une heure. A trois heure moins le quart je décidai brusquement de changer mon fusil d'épaule. J'empoignai le berceau et le mis à portée de ma main au chevet de mon lit.....
....
Je crois qu'aujourd'hui encore je répondrais ainsi dans le plus profond sommeil si quelqu'un  disait doucement près de moi : vivivivivivi ?"
A vous, s'il vous plait....

[piloui]

tant pis puisque vous tenez à me faire un présent, j'aime bien celui-ci, il a un charme.............
http://www.youtube.com/watch?v=Dzx9P6Rv-dg&feature=BF&list=ULJodg8z8Yo7Q&index=23

[Faucill]

Bien d'accord avec toi.......

[manuduke33]

 :0007: trooooooooooooooop beau