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Je me souviens par Yoda

Démarré par titicomdab, 09 Mars 2006 à 12:06:06

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titicomdab

Je me souviens,

Je me souviens d'un passé lointain, à  cette époque je vivais en liberté en compagnie de mes amis. J'avais une fiancée et entre nous c'était pour la vie. Nos journées étaient on ne peut plus simple, trouver de la nourriture, de l'eau, faire les imbéciles et avoir des petits. Nous passions la plupart de notre temps dans les arbres et nous allions de branches en branches. Nous n'avions pour seul horizon que des plaines à  perte de vue.

Je me souviens de ce matin où nous étions encore endormis l'un contre l'autre avec l'idée qu'une belle journée était devant nous.

D'un coup nous avons entendu des bruits venus de nulle part, mais comme on ne savait pas de quoi il s'agissait nous sommes restés là  tranquillement.

Je me souviens quand l'espace d'un instant je ne pouvais plus voler et j'étais privé de toute liberté. Nous nous sommes retrouvés dans un endroit complètement noir, serrés les uns contre les autres en se demandant se qu'il se passait. J'ai réussi avec beaucoup de mal à  retrouver mon amie et nous ne nous sommes plus quittés.

Je me souviens d'un long et pénible voyage, toujours enfermé dans cet endroit noir, ou la chaleur était insupportable et l'air quasi inexistant.

Je me souviens de cette maudite boite, mais apeuré nous n'osions pas sortir, nous étions tous au fond tassés les uns sur les autres. J'ai regardé autour de moi et déjà  certains ne respiraient plus, mais nous étions toujours deux.

Je me souviens de ces mains gantées qui nous attrapèrent chacun notre tour afin de nous couper les plumes des ailes, et nous balancer dans un endroit clos. Je sentais en moi la peur, l'ignorance et le stress monter de plus en plus.

Je me souviens être resté là  des jours et des jours avec très peu de nourriture et d'eau, et tous les matins il y avait de nouveaux morts. Mais nous étions encore à  deux, et cela était très important. Nous nous réconfortions comme nous pouvions et se posant des tonnes de questions.

Je me souviens. D'un second voyage encore plus long toujours dans le noir, nous étions des dizaines parqués dans des petites caisses, et tous les jours ces mains gantées venaient enlever les cadavres de mes amis, de mes proches, de mes frères. Mais nous avions la chance d'être ensemble.

Je me souviens qu'a la suite de ce long voyage nous avions plus d'espace dans cette maudite boite. De là  nous avons encore été manipulé par ces maudites mains gantées, on nous a mit une bague autour de notre patte, et nous sommes restés ainsi pendant des jours.

Je me souviens de ce matin terrible ou toujours enfermé, je me suis dit : cela n'est qu'un mauvais rêve et je vais ouvrir les yeux et retrouver mes arbres, mon ciel, mon soleil et ma liberté. Mais cette fois la seule chose que j'ai vu c'est mon amie étendue à  même le sol froide inanimée et sans vie. Cette épreuve avait été beaucoup trop dure pour elle, et elle a décidé de partir peut être pour retrouver son nid où 3 oeufs l'attendait. Une nouvelle fois cette main gantée est venue, elle a saisi sans douceur ni pitié le corps de mon amie et l'a jeté dans un sac plastique. Ce jour là  restera à  tout jamais gravé dans ma mémoire.

Je me souviens quelques temps plus tard m'être retrouvé dans un nouvel endroit, cette fois pas dans une cage mais une grande volière, avec des gens qui allaient et venaient sans cesse. Les enfants qui venaient en courrant vers moi et tapaient dans la volière pour que je bouge.

Je me souviens que mon coeur saignait encore de la perte de mon amie.

Je me souviens de cette famille qui est venue me chercher. Je me suis encore une fois retrouvé dans une boite sans lumière, il y a eu encore un voyage et je me disais : quand cela va-t-il cesser quand vais-je retrouver ma forêt et les miens, moi qui ne suis pas fais pour vivre seul.

Je me souviens de ce tout nouvel endroit, avec une cage rien qu'à  moi, de la nourriture et de l'eau à  volonté, des jouets. Mais en échange de tout cela je devais être gentil, ne pas crier, ne pas salir ni mordre et être seulement drôle. Moi je n'avais pas envie d'être drôle.

Je me souviens que les jours passaient les uns après les autres, toujours terrifié et pensant souvent à  ma vie d'avant ou nous étions heureux et insouciants. Où la vie était simple comme un sourire. Mais ce temps n'est plus, après quelques temps passé dans cette famille le cauchemar a recommencé. Boite, noir, voyage stress…

Ceci juste pour dire qu'il n'est pas facile d'être un clown tous les jours de l'année, qu'il n'est pas facile de faire confiance. La seule expérience que je connais de vous « êtres humains » c'est douleur, souffrance et deuil. Donc il vous appartient de me prouver qu'au fond vous êtres des personnes gentilles et avec du coeur. Faite vos preuves car moi pour arriver chez vous j'ai fais les miennes.

Alors oui parfois JE ME SOUVIENS…

dana

#1
no comment ....

20/20 , rien à  dire de plus

merci
Mireille

Je suis reconnaissant avec tous ceux qui m'ont dit non, car grâce à eux, je l'ai fait moi-même .

Einstein

jsf

#2
Là  encore, malgré la toute poétique mise en forme, je me fie à  mon bon vieux texte !

CitationDe la projection à  l'emprise humaine
Mosaïque des démences dans la relation humain-perroquet


Avertissement
Ce qui suit ne saurait convenir aux personnes qui, par émotivité ou idéalisme attribueraient à  l'animal des sentiments, images, émotions qui n'ont de réalité qu'en l'intellect et le ressenti d'homo sapiens.
Ce petit texte ne saurait non plus convenir aux personnes qui, se remettant aux apparences, spécifiquement ici aux apparences animales, confondraient les niveaux de conscience qui, fondamentalement, différencient les êtres.


I à Principes fondamentaux
     Qui régissent tout comportement animal

Chez les animaux, l'absurde n'existe pas. Nous traiterons ici, en l'occurrence, du « cas » des perroquets. Et les perroquets non plus, ne connaissent l'absurde. Ainsi pour l'animal, tout est cause, et tout est conséquence.
C'est instinctif, d'abord. Un cri suspect, pour exemple, inquiètera le perroquet, car la cause d'un hypothétique prédateur s'imposera d'elle-même. L'intelligence des perroquets, si élaborée soit-elle dans le règne animal, est une capacité d'analyse des causes et conséquences dans un environnement qui est le sien.
L'absurde qui se distancie d'un système cause/conséquence, et qui parfois provoque le rire, n'existe pas chez l'animal.

Autre principe capital : le principe de Reproduction, que rien ne peut contredire, et dont nous savons les darwiniens effets.                                                                                        

Dernier des principes, celui de douleur/plaisir (D/P).
Celui-ci est « l'intelligence », si je puis dire, du principe de Reproduction.



1-Principe de Reproduction
C'est la condition même de la vie sexuée. Perroquets et hommes avons là  notre but en tant qu'êtres appartenant à  une espèce, c'est à  dire, perpétuer et étendre la domination de l'espèce dont il est question, sa survie, et ce, par la Reproduction.
La survie d'une espèce dépend de l'instinct de Reproduction. Il y a extinction si par hasard telle espèce ne peut plus se reproduire dans les proportions qui lui permettaient sa survivance. Et l'oiseau est ainsi « programmé ».
Telle est la finalité de ses actes. Ceux-ci convergent uniquement vers cette seule obligation. Et seule nécessité : rester en vie, ou plutôt, rester en vie parmi d'autres vies, dans une logique naturelle de prédation.

2-Principe de D/P
Le principe de douleur/plaisir, est, comme il était dit, l'intelligence de la Reproduction. L'être qui ressentira moins de douleur se reproduira plus massivement, assurant par-là  le prolongement de son espèce.  

Le mode de pensée du P., est uniquement basé sur la présent (l'immédiat), c'est à  dire, le présent à  court terme, et le passé récent.
Les réactions sont toujours basées sur des instincts, en fonction du plaisir/douleur expériencé.


3-Inexistence de l'absurde et formes projectives

Quelques exemples concrets :
-La projection, un archétype :
« Je donne à  sentir une rose à  mon P., que croyez-vous qu'il pense ? »
Il ne pense qu'à  peut-être se saisir de la rose et à  la décortiquer, car les P. ont un odorat peu développé ou inexistant.
Et ainsi pour tout. La conception des sens chez le perroquet est différente de la conception des sens chez l'homme, car sa structure anatomique et ses circuits nerveux diffèrent…

-Projection spatiale et dimensionnelle :
« La cage de mon P. (perroquet) est rectangulaire, grande et spacieuse, dans le salon parmi nous, il doit se plaire. »
Y tenir compte : notre habitat est un habitat humain. Toutes les dimensions de nos logis sont humaines et adaptées à  un mode de vie qui est très distinct de celui des oiseaux. Certes, nous sommes devenus sédentaires, pourquoi pas un P. ne le pourrais pas ? Car par nature, l'homme, tel le singe des forêts pluviales ou le macaque japonais, exprime un mode de vie qui tend vers la sédentarisation, lorsque cela est possible. Quand cela fut réalisable, nous nous sommes établi, et nous nous déplacèrent moins. Dans des conditions de vie idéales, le P. aussi se sédentariserait, mais comment, nous ne pouvons le savoir. Il est sûr que ce n'est certainement pas comme nous l'avons fait, et nous obligeons aux P. une sédentarisation pareille à  la notre, ce qui, fatalement, nous mène vers de nombreuses impasses.

-Projection des états d'esprit :
« Aujourd'hui je me suis occupé de mon P., il était très heureux. »
-Grossière erreur que de considérer que le P. puisse éprouver le bonheur ou le malheur. Bien tristement, c'est pourtant de cette façon que nous envisageons la relation homme-perroquet, car depuis notre plus tendre enfance nous sommes baignés par cette vision de l'animal, dont l'arrière goût est teinté de vices. Dans notre société, toutes les sortes de représentation d'un animal le font devenir parlant, avec des expressions humaines, et que dire des dessins animés qui font jouer dans la moitié des cas des animaux, qui, bien sûr, revêtent toutes sortes d'idéaux et de bons sentiments que l'homme y projette ! Malgré la puérilité de l'image, nous n'aurions pu sous-estimer l'impact de l'éducation, qui fait évoluer le petit humain entre le roi lion, les fables de la Fontaine, ou bien encore les contes de Perrault !
Et rares sont les personnes qui interagissent avec leur animal de compagnie en considérant l'animal comme étant animal, la majorité des questions posées au sujet des P. nous font deviner que nous sommes dans une inextinguible erreur.
Cette confusion prend  source dans la bonne volonté, souvent égoïste d'ailleurs (et sans en avoir conscience), de beaucoup de personnes ayant un P. Mais cela souvent, est un mal. Et quand le P. n'est plus P. par la férocité sentimentale de l'homme, il advient que ce qu'il reste de l'oiseau est une masse de chairs et de plumes uniformément dévoué à  son propriétaire, dans une éternelle incompréhension.  
Il est essentiel que dans l'éthique de l'homme respectueux il y conçoive cette notion : un P. ne connaît que la douleur ou le plaisir et non le bonheur ou le malheur.
 
-Projection de l'ennui :
« Si mon perroquet se pique, c'est qu'il s'ennuie ! »
Contrairement aux idées populaires, le perroquet ne connaît pas l'ennui. L'ennui n'existe que chez l'homme, et implique une notion de temps. Et le perroquet ne connaît pas la notion de temps, il n'anticipe pas. Il a une certaine conscience de l'immédiat, comme nous l'on démontré les expériences avec un célèbre gris, mais en aucune façon il n'a la conscience du futur.
Vous me direz que s'il érige un nid sur une longue période c'est qu'il sait que c'est pour y élever des jeunes, mais vite vous vous rendrez compte que la conscience de temps n'entre pas dans les instincts, qui sont, le plus souvent, organiques. La science nous explique de plus en plus l'implication de processi corporels (hormonal, neurochimique…) qui déclenchent tel ou tel comportement.
Nous pouvons maintenant en venir à  la problématique de l'ennui et du picage.
Il serait dangereux d'appeler par « ennui » la cause qui en général détermine le picage. Chez le P., cela est du à  un manque de plaisir, ce manque de plaisir peut se dire autrement : manque de stimulation sensorielle. En union soviétique il y avait naguère dans certaines prisons des « cures » pour se « vider le cerveau ». Des peines étaient appliquées comme forme de torture à  certaines personnes (notamment les personnes dangereuses pour le régime communiste) qui consistaient à  enfermer ces dites personnes dans une petite pièce blanche dans une solitude extrême, entre quatre murs blancs, sans aucune fenêtre ni animation, et ce, avec une simple lumière artificielle et de la nourriture bouillie automatiquement distribuée. Rapidement, la personne devenait folle, dégénérait, etc. C'est un peu ce qu'il se passe pour le picage chez les P. Il n'y a pas là  d'ennui, mais manque de stimuli.
Certains m'ont affirmé que les perroquets étaient terriblement humains parce qu'ils pouvaient se piquer, et seul l'homme peut, selon lui, décider de s'autodétruire. Ceci est un non-sens, dans les conditions qui en général déterminent le picage, tout animal suffisamment « évolué » aurait un comportement similaire.

-Projection de l'esthétique :
« J'arbore de couleurs joyeuses la cage de mon P., je crois qu'il trouve que c'est joli ! »
Le P. ne sait ce qu'est la beauté, ou donnez-moi un argument valable qui puisse contredire cette constante.

-Projection des gestes d'attention et de l'affectivité
« Mon P. me mordille les oreilles, souvent. Il doit bien m'aimer et me remercier de la sorte »
Le P. dans le relationnel avec l'homme usera des gestes d'attentions tels la proximité avec l'homme, l'affection, les « paroles », doux cris, etc. Cela, quoi que l'on en dise, est uniquement lié à  son instinct reproducteur. Le perroquet considère l'humain favori comme partenaire, cela est bien connu. Dans la nature nous retrouvons ce même comportement. Comportement indispensable pour l'avenir de telle ou telle espèce. Ces meurs d'attention mutuelle sont également portés à  une progéniture vers laquelle sont portés les soins des parents. Que penser par contre de la nature des sentiments que l'homme projette chez le P. lorsqu'il celui-ci recueille un peu d'affection ? Très vite, l'homme parlera d'amour, de tendresse, pour … un oiseau ! Que dire de cette désastreuse projection, qui, malgré des apparences bénéfiques ( vous me direz : certes, lorsqu'un humain dit qu'il y a amour ou tendresse entre lui et son oiseau, il n'y a pas de mal ? ) comporte de bien périlleux travers.

-Projection de la liberté
La liberté, reportée aux trois principes, est une chose qui ne peut exister.
Les nombreux discours qui font l'apologie de l'oiseau "libre" sont des lapalissades tout juste destinées aux sentimentaux naïfs. Comment pourrait-on dire qu'un oiseau est "libre", sans projeter une valeur humaine qui de plus, est un concept creux ?
L'oiseau domestiqué ou de compagnie est souvent bien plus "libre" que l'oiseau sauvage. Libéré d'un risque de prédation, des âpres conditions de la nature, etc.
 
-Projection des sentiments :
Il est bon de rappeler que le P. ne connaît ni l'amour, ni l'amitié, ni l'antipathie, ni la haine, … (non exhaustif)
Par exemple :

Amour : Ce sentiment complexe propre à  l'homme n'est pas uniquement du à  l'attirance physique. Chez le P., seul compte les caractères physiques, bonne santé de l'oiseau, beau plumage, comportement assuré (ce qui est physique), marqueurs de reproduction, influence des saisons, etc.
Le fait que certains P. gardent un unique partenaire durant toute leur vie réside dans le fait que cela facilite les comportements avec le reste du groupe d'oiseaux, ou que cela assure une bonne cohabitation. Donc, cela garantit une meilleure Reproduction, c'est un comportement qui davantage, est viable.
L'homme projettera et dira : « c'est un grand signe d'intelligence, certains P., sont monogames, oui ! ». L'homme y infusera tout un amas de bons sentiments, qui n'ont absolu aucun lien avec les priorités de la reproduction. Chez l'homme aussi la monogamie doit sans doute garantir une reproduction plus sûre.
Et quand l'homme ne connaît que confusément l'essence de ses actes, en projetant sur lui-même, la projection d'une erreur autoprojective sur l'animal ne peut qu'être catastrophique.
Si pour dissimuler ses instinct l'homme par son intellect en vint à  avoir conscience de sentiments élevés, l'animal n'est pas encore à  ce stade d'évolution.

Amitié : Idem, strictement humain. De plus, l'amitié chez le perroquet n'existe sous aucune forme.

Antipathie : Il y a antipathie entre deux ou plusieurs P. dans les rapports sociaux de groupe. Mais peut-on appeler cela « antipathie » ? Par exemple, un mâle P. qui convoite la même femelle qu'un autre mâle aura des réactions d'agressivité et une phase d'intimidation qui, déplacée chez l'homme, dans un rapport humain/P., sera interprétée comme étant un « je ne t'aime pas ». Alors que, simplement, il s'agit d'un instinct du P. contrarié par l'homme. Certains veulent « éduquer » leur P., que cela peut-être sournois et mauvais ! Un désamour du P. envers l'humain ne comporte aucune signification profonde. L'erreur est que l'homme lui en attribue une.

Et ainsi de suite pour toute réaction et attitude du P., qui, n'est autre chose qu'un aspect d'un des trois principes fondamentaux.



Conclusion
                                         
De promouvoir un respect réellement respectueux entre humain et P. est la raison de ce petit texte qui se veut amener des pistes de réflexion sur notre comportement souvent aveugle au sujet de nos P..
Avec le P., nous ne pouvons nous permettre de projeter nos valeurs ou tout autre chose, et malheureusement c'est le triste constat qui apparaît chez beaucoup, je dirais même que cela apparaît dans une grande majorité de « passionné(e)s », amoureux(ses) des psittacidés.

Que faire ?
Peut-être pouvons-nous appliquer deux directives :

-Répondre au mieux au principe de douleur/plaisir : en offrant plus de plaisir que de douleur et en ne frustrant les instinct du P. qu'au minimum, avec justesse, pour que l'intégration du P. parmi les humain soit la meilleure. Ne pas oublier qu'un P. a besoin de crier, de détruire, par ex. Il faut parvenir à  répondre à  ces instincts : faire en sorte que l'adaptation au milieu humain ne soit pas trop rude. Ne pas « éduquer pour éduquer ».

-Répondre au principe de Reproduction en acceptant les traits de caractères qui peuvent apparaître, comme l'exclusivité. Aimer le P. pour ce qu'il est, et non pour ce que l'on veut qu'il soit. Un humain peut légèrement devenir P. (ironique), mais le P. ne pourra jamais devenir humain. Respecter cela et exiger un contrôle de soi-même, de notre projection qui souvent, est inconsciente.

mimie

#3
:( C'est terrible que j'en ai pleuré.

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