Une perspective différente sur le vol libre.

[Alfredo]

Je me tiens, je suis Alfredo, et j'habite dans le sud, à Séville, Espagne. Ma passion est le vol libre, maintenant je fais avec l'inséparables. Je n'ai rien contre la formation traditionnelle, (du rappel, les ordres, les vols domestiques, harnais, volant à l'extérieur, répétez ... ...) Mais pour moi il est lourd, et presque toujours le même.
Travailler avec les très jeunes et donc pas travailler à nouveau, seulement observer, leur éthologie et l'instinct faire le travail pour moi. Imprimé en deux directions, l'homme, et sa propre espèce, et les très jeunes mis sur son territoire, le philopatrie.
L'attachement à leur terre et leur volière, le centre du territoire, est plus forte que la formation.
J'ai ouvert la volière, chaque soir, ils volent avec une grande joie, profiter de leurs heures de liberté, et avant le coucher du soleil tous retournés à leur volière, où le dîner, rencontrer des pairs, où il est sûr, ......
Cette pratique du vol libre contrôlé, sans ordres, apparemment anarchique, naturel, très doux, et mon point de vue, plus sûr que la formation classique.
Ils volent tous les jours, un troupeau de vingt oiseaux, sans risque. Il est impossible pour les oiseaux d'échapper à eux-mêmes. Son instinct fait le travail. Pas de perte en trois ans.
Le résultat est le suivant: j'ai mis quelques vidéos dans la section vidéo.
Salutations de Séville.

[kétile]

Boinjour

Merci beaucoup pour cette approche différente du vol libre  :sage:

Je me posais une question. Cette méthode ne peut marcher qu'avec des oiseaux élevés en volière et en colonie.
Il est impossible de faire cela avec des oiseaux élevés à la main, seuls ou en couple et vivant à l'intérieur d'une maison... ????

[Alfredo]

Merci, Kétile.

Précisément la base de ce système est de travailler avec imprimés, élevés à la main. Si les oiseaux volent en toute sécurité à l'extérieur, l'intérieur aussi bien. Mais l'extérieur est plus grand et plus beau que le salon.
Je parle de la «double imprégnation», il est préférable d'élever deux ou trois à la fois. Son père est humaine, mais ils ne perdent pas l'identité des espèces, et père humain après un certain temps, est une «inséparable» de plus. Laid et barbu, sans ailes, mais l'un d'entre eux.  :icon_e_biggrin:

Si vous aimez l'Andalousie, j'ai mis une vidéo, intitulée «Agapornis en Andalousie" ( Inseparables andalouse). Pour moi c'est la meilleure vidéo que j'ai fait. C'est en espagnol, avec ma propre voix.

[jerk1966]

hola Alfredo
sa me fais plaisir de te voire par ici mon ami .il me semble que les Espagnoles somme les seules a etre un peut fou pour  pratiquer  le  vol libre avec nos perroquets .sa doit etre notre sang latine jajaj .nous somme peut etre un peut fou mais pas inconscient quand meme.
cordialement Jose

[Moya]

Bonjour Alfredo,
Merci pour ce témoignage très intéressant et tes vidéos magnifiques.
C'est formidable de voir tes oiseaux en liberté comme ça et je trouve ton approche du vol libre très satisfaisante intellectuellement, plus que les contraintes rappel, harnais etc... MAIS... je ne crois pas que j'oserai jamais essayer !
D'autre part, tu ne parles que d'inséparables, as-tu essayé avec d'autres espèces ?
merci encore
Moya

PS : Jerk, nous aussi sommes des latins et rassure-toi il y a aussi des foufous parmi nous !

[Alfredo]

Bonjour, Jose, Moya.
Jose, mon ami, master Aras. :icon_e_biggrin:
Je ne pense pas que la passion du vol libre, soit par le sang latin, est par accident. José vous de l'Atlantique, celtique. Je pense que dans le sud avec la météo invite à passer plus de temps dehors et profiter du soleil et des oiseaux volants.
En hiver, mes inséparables vols quotidiens, quelques jours de mauvais temps, seulement quelques jours ne laisse pas ma peur de voler. En été, il est pire, avec la chaleur ne veut pas voler, mais l'eau de l'ombre et au frais.

Aussi vol, une rosella pennat, platycercus elegans. Elle vole très vite et a un mauvais caractère avec les inséparables. Ils ignorent la Rosella.
J'ai deux paires de cyanoliseus patagonus. Avec beaucoup d'enthousiasme, j'espère l'élevage de lannée prochain , j'espère que les jeunes forment un troupeau de bruyants "barranqueros", dites en espagnol.